Les métropoles bourdonnent, les promeneurs butinent, comme l’abeille la fleur, et plus le bourdonnement est bavard, plus le jardin est nécessaire. Que vous soyez amarré – ou de visite – à Paris, à Londres, à Milan, à Munich, ou beaucoup plus proche du soleil levant, à Séoul, à Tokyo, à Hong Kong ou encore à Macao, le vert se fait refuge. Suivez les parfums du grand air et les bonnes recommandations de l’Officine. 

La flânerie pour maître-mot, Henry David Thoreau écrit avec provocation qu’il n’a “au cours de sa vie, rencontré qu’une ou deux personnes qui comprenaient l’art de la marche, c’est-à-dire l’art de se promener, qui avaient en quelque sorte le génie de la balade.” Que le génie de la balade emplisse vos poumons et démontrons que l’humain, deux siècles plus tard, embrasse finalement sa destinée de promeneur averti.