À bord du Buly Express

« Celui qui veut voyager heureux doit voyager léger » écrivait Antoine de Saint-Exupéry dans « Terre des hommes ». Et l’Officine Universelle Buly met un point d’honneur à contribuer à votre bonheur en proposant deux nouveaux coffrets : Le Nécessaire du Petit Voyageur et Le Nécessaire du Grand Voyageur, des mallettes portant vos initiales, sophistiquées mais compactes, renfermant des essentiels de beauté : une salle de bain miniature qui suit le voyageur tout autour du monde.

24 mai 2024

"Je ne suis pas allée partout, mais c’est sur ma liste."

Susan Sontag

Le Nécessaire du Petit Voyageur

Le Nécessaire du Petit Voyageur cache en son coffret vert forêt à l’intérieur de velours, des trésors de soins pour se sentir frais à toute heure, dans un train sillonnant la campagne ou pendant un vol de nuit. Il se compose de trois tubes en format de poche (10ml) : un Opiat Dentaire à la menthe, à la coriandre et au concombre ainsi qu’une brosse à dents de voyage gravée de vos initiales, une Pommade Concrète pour les mains et les pieds au beurre de karité et à la cire d’abeille, une Pommade Virginale pour le visage à l’amande douce et à l’eau florale de tilleul. Trois tubes dans un format voyage (50ml) et leur bouchon robinets’y ajoutent pour une toilette parfumée à l’Héliotrope du Pérou avec un Shampoing Universel, un Après-shampoing Universel et une Huile de Savon lavante et réconfortante. Ce nécessaire est protégé des aléas du voyage dans une pochette en suédine verte frappée du logo de l’Officine.

POUR LES PETITS VOYAGES

Le Nécessaire du Grand Voyageur

Le Nécessaire du Grand Voyageur afficheun rouge bordeaux profond et son intérieur orné d’un miroir ajoute à la liste du Nécessaire du Petit Voyageur d’autres indispensables: un fil dentaire aromatisé à la menthe, un Baume des Muses pour des lèvres douces, un peigne Le Coutumier couleur ivoire dans son étui de velours, un Lait Virginal en format voyage (50ml), une Eau Triple Lichen d’Écosse (10ml), à la senteur irrésistiblement verte, annonçant les dépaysements à venir.

POUR LES GRANDS VOYAGES

« Le voyage en train réveille des rêves qu'on croyait oubliés. » Agatha Christie

Le Royal Scotsman de Belmond, l’un des trains les plus luxueux du monde, à travers les paysages sauvages des Highlands écossais.

Ces nécessaires petits par la taille mais grands par leur raffinement et le plaisir qu’ils procurent, évoquent la révolution qui a eu lieu au début du XIXe siècle au moment où Jean-Vincent Bully et son vinaigre merveilleux commençait à remporter des prix: l’invention de la locomotive et l’essor des chemins de fer, une invention si remarquable qu’elle changea la manière de voyager, plus rapide, et suivant un rythme hypnotique à travers les paysages. Le train capte l’imaginaire d’un monde en mouvement et devient un décor de cinéma inépuisable depuis son apparition fracassante en 1895 avec « L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat », une des premières expériences cinématographiques des frères Lumière, qui suscita un émoi historique dans le café parisien où il fût projeté. En hommage aux voyageurs sur rails, d’hier et d’aujourd’hui, huit films singuliers se déroulant dans des trains rejoignent huit soins de l’Officine présents dans le Nécessaire du Grand Voyageur, un voyageur qui reste avant tout un grand rêveur.

Le voyageur en quête de lui-même : The Darjeeling Limited (2007)

"Le voyage en train permet de ralentir le rythme d'un monde qui va trop vite" dit un proverbe indien. Pour les trois frères en deuil de leur père dans ce film de Wes Anderson, le voyage en train à travers l’Inde prend des airs de quête initiatique. Ce train étrange devient un espace à conquérir – ou à attraper lorsqu’on court désespérément après –,qui mène ou ramène à l’enfance, à la mort, à l’amour, à ce qui compte ou pas.

Jason Schwartzman, Owen Wilson et Adrien Brody dans « The Darjeeling Limited »

Ses couleurs vives ornés de motifs symboliques évoquent à la perfection le serpent vert fascinant du tube de l’Opiat Dentaire de l’Officine.

L'OPIAT DENTAIRE À LA MENTHE

Le voyageur caché : Une Femme disparaît (1938)

Qui mieux qu’Alfred Hitchcock a saisi à l’écran l’ambiguïté de cette machine mouvante qu’est le train ? Au cours d’un voyage, Iris, une jeune femme, fait la connaissance d’une vieille dame – Miss Froy – qui disparaît mystérieusement. Personne dans le train ne semble se souvenir de sa présence en dehors d’Iris... Entre l’énigme policière, la comédie romantique et le film d’espionnage avec une pincée d’humour anglais, de cricket et une malle magique, « Une Femme disparaît » séduit à chaque vision.

Michael Redgrave, Margaret Lockwood et Paul Lukas dans « Une Femme disparaît »

Aussi irrésistible et british que le parfum de peau parfumé au Lichen d’Écosse.

« Je ne voyage jamais sans mes mémoires. Il faut toujours avoir quelque chose de sensationnel à lire dans le train. » OSCAR WILDE

L'EAU TRIPLE LICHEN D'ÉCOSSE

Le voyageur amoureux : Before Sunrise (1995)

"Le train est un poème en mouvement" écrivait Gilbert K. Chesterton. Dans « Before Sunrise »de Richard Linklater, c’est un poème d’amour, qui va devenir le fil de deux autres films « Before Sunset » (2004) et « BeforeMidnight » (2013). À bord d'un train pour Budapest, Jesse (Ethan Hawke) entame une conversation – qui va durer toute une vie–avec Céline (Julie Delpy). Il la persuade de descendre à Vienne pour passer la soirée avec lui avant qu’il ne s’envole pour les États-Unis.

Ethan Hawke et Julie Delpy dans « Before Sunrise »

Cette romance en devenir,où les mots font naître un amour sans pareil, s’allie à la perfection à la candeur romantique du Lait Virginal parfumé à l’Héliotrope du Pérou.

LE LAIT VIRGINAL HÉLIOTROPE DU PÉROU

Le voyageur piégé : Le Crime de l’Orient Express (2017)

Au cours d’un voyage entre Istanbul et Londres dans l’Orient Express, un Américain antipathique est poignardé en pleine nuit.Le détective belge Hercule Poirot, présent à bord, tente de résoudre ce crime en huit clos et de découvrir qui est l’assassin parmi les passagers alors que le train est bloqué par les neiges. Dernière adaptation du fameux polar d’Agatha Christie, ce film de Brannagh possède un casting aussi gigantesque que la moustache de Poirot qu’il arbore, dans un décor aussi luxueux que celui du vrai Venice Simplon Orient Express (Belmond). Méthodique et sans affect, Poirot se retrouve devant un dilemme moral face à une tragédie en domino.

Kenneth Branagh en Hercule Poirot dans « Le Crime de l’Orient Express »

Cette main de la Justice symbolique rappelle celle, divine, du tube de Pommade Concrète de l’Officine Universelle Buly.

« Si vous souhaitez voyager vite et loin, il vous faut voyager léger. Oubliez toutes vos envies, vos jalousies, votre rancœur, votre égoïsme et vos peurs. » Cesare Pavese

LA POMMADE CONCRÈTE

Le voyageur tragique : Europa (1991)

Lars von Trier saisit l’aspect dangereusement hypnotique du train en un générique. Au début d’Europa, la voix inoubliable de Max Von Sydow égrène un décompte de 1 à 10 le long des rails, dans la nuit, pour nous faire entrer dans le film comme dans un cauchemar dont il sera difficile de sortir. En 1945, dans une Allemagne détruite, un Américain (Jean-Marc Barr) contrôleur des wagons-lits va tomber amoureux de Katharina, la fille du propriétaire de la sinistre compagnie ferroviaire Zentropa, pour son plus grand malheur.

Jean-Marc Barr et Barbara Sukowa dans « Europa »

Embrasser la personne de vos rêves peut mener très (trop) loin dans le rouge passion à l’image de ce boitier du Baume des Muses de l’Officine, le meilleur ami des baisers vertigineux.

« La seule façon de ne pas rater un train est de manquer celui d'avant. » Gilbert K. Chesterton

LE BAUME DES MUSES

Le voyageur sur la route : Natty GanN (1985)

En 1935, durant la Grande Dépression, Natty Gann, une fillette habillée en garçon, part seule de Chicago pour rejoindre son père, bûcheron sur la Côte Ouest. En passager clandestin, elle embarque dans des trains de marchandises, accompagnée d'un loup qu’elle a sauvé et de Harry, un jeune « hobo », ces voyageurs-vagabonds mythiques qui ont inspiré Jack Kerouac, Jack London ou Charlie Chaplin.

Meredith Salinger, Wolf et John Cusack dans « Natty Gan »

Si vous devez sauter de train en train, votre meilleure amie – si aucun loup n’est disponible – est d’évidence la petite brosse à dents de voyage de l’Officine, facile à glisser dans sa poche intérieure, elle devient le plus efficace des compagnons de route.

LA BROSSE À DENTS DE VOYAGE

Le voyageur déguisé : Uniformes et jupons courts (1942)

Premier film américain de Billy Wilder, « Uniformes et jupons courts » raconte l’odyssée rocambolesque de Susan (Ginger Rogers), coiffeuse à New York, qui décide de retourner dans l’Iowa.Le seul moyen de se payer le voyage pour elle est de se déguiser en fillette. Elle devient donc "Sou-Sou" et rencontre un officier qui découvre son secret alors qu’elle essaie de déjouer les contrôleurs. Le trainest ici un espace de comédie et plus précisément de la « screwballcomedy », comme dans « Palm Beach Story » de Preston Sturges la même année où Gerry (Claudette Colbert) fauchée elle aussi voyage avec tout un club de chasse constitué d’excentriques plutôt bruyants.

GINGER ROGERS DANS « UNIFORMES ET JUPONS COURTS »

Pour atteindre cette allure de jeune fille au joues roses, on conseillera évidemment la Pommade Virginale de l’Officine, qui redonne la fraîcheur requise aux teints fatigués.

LA POMMADE VIRGINALE

Le voyageur malgré lui : La Mort aux trousses

Publicitaire new-yorkais, Roger Thornhill (Cary Grant), est pris par erreur pour un autre, un certain George Kaplan, à un rendez-vous d'affaires au Plaza. Enlevé à la suite de ce malentendu, il est contraint de fuir à travers les États-Unis. Dans un train pour Chicago, une blonde sublime, Eve Kendall (Eva Marie Saint), l'aide à échapper à la police. La scène deséduction dans le wagon-restaurant de ce thriller, considéré comme l’un des chefs-d'œuvre d’Alfred Hitchcock, reste dans toutes les mémoires.Gary Grant y allume pour l’éternité la cigarette d’Eva Marie Saint et fait flamber les cœurs.

Eva Marie Saint et Cary Grant dans « La Mort aux trousses »